Très Cher Père,
Les photographies du Père Patfoort me touchent beaucoup. Son sourire toujours présent me bouleverse. Il est toujours présent à notre cœur.
L’amitié que vous aviez pour lui est très belle. Je me souviens encore de cette messe et de ce déjeuner passé tous les trois ensemble.
Je vous remercie de me l’avoir fait connaître et d’avoir pu passer quelques moments avec lui. Je sais maintenant qu’il vous manque et je souhaite par ces mots vous dire que je suis proche de vous par la prière.
Rien ne pourra le remplacer dans notre vie sur terre. Il existe cependant en nous une petite flamme que l’on appelle « espérance » qui nous dit qu’on le reverra dans la Gloire de Dieu.
J’espère que j’aurais l’occasion de vous revoir lors d’un prochain passage à Paris… j’ai malheureusement reçu très tardivement votre dernière invitation pour votre dernière exposition. J’espère que vous en avez été très content et que vos ouvres ont touché par leur beauté le cour des Veuillez croire, Très Cher Père en toute mon amitié,
Eudes d’Orléans